Jerry Lee Lewis

Jerry Lee Lewis le 12 Octobre 2006 à Hollywood en pleine rue et il y a foule !!!
il attire toujours autant de monde au pays de l'oncle Sam ........
Et il a toujours cette "Rock'n'roll attitude" à 71 ans (29/09/1935)......
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merci rocky, il touche sa bille encore au piano ! je pensais qu'il etait plus vieux que ça, plus vieux que mon paternel
c deja pas mal

sa femme est encore plus jeune que lui !!!!!!!! :lol:

Sa carrière météorique est stoppée en pleine trajectoire par son troisième mariage en 1958. Il épouse Myra Gale Brown, qui, non seulement est la fille de son oncle, mais n'est âgée que de 13 ans. Accessoirement, pour le Killer, il n'a pas réglé ses précédents divorces. Il est poursuivi pendant de nombreuses années par ce mariage. Ses cachets s'effondrent, ses disques sont bannis. Le public vient à ses spectacles pour le huer. Il reste marié 13 ans à Myra.

Je savais qu'il était de la même année que le king.... :lol:
Mais c'est clair qu'il a encore la pêche....comme quoi le whisky ça conserve !!!

Je sais que je vais me faire huer !! mais je l'aime bien mais sans plus !!!

Aïeeeee !!!! Pô la tête !!!!

Palais des congrès de Paris, 12 Mars 2007 :



Il n’y a rien à dire, c’est vraiment le dernière homme (de la première génération du rock) debout !
Enfin en fait il est assis pendant tout le concert, mais son talent lui, est toujours bien « debout », et lui permet de se tenir fièrement devant son public !

Arrivé au Palais des Congrès, je croise copain Christian Nauwelaers de juke box magazine qui est déjà excité comme une puce et avec lequel j’échange quelque propos avant qu’il ne se précipite sur Laurent Gerra pour obtenir une ch’tite dédicace ! :lol!:

Entrés dans la salle nous avons droit à la sempiternelle (rituel pénible) première partie !
Ce soir c’est Jean Jacques Milteau qui s’y colle. Bon, agacement, impatience, puis période d’indulgence (il a de bons ziquos blacks ricains avec lui) puis re-ennui…Milteau en sort quand même une bien bonne : « Au 19ème siècle les puritains, intégristes de leur époque, considéraient le violon comme l’isntrument du Diable, ce que l’ami André Rieu nous a prouvé récemment ! »

Et puis le groupe de Jerry arrive enfin, et comme d’hab’, c’est Kenny Lovelace qui fait les 4 premiers titres…là ça devient long, mais enfin, enfin, le Killer débouche sur la droite de la scène ! Habillé de noir avec des boots noires vernies, il fait dans la sobriété et s’installe au piano pour un excellent « Roll over Beethoven, ça commence bien !

Il enchaine sur « You belong to me », une jolie ballade popularisée par Dean Martin et Paul Anka (entres autres). Le vocal, bien que légèrement chevrotant, n’est pas hésitant, ça va !
Quand aux glissandos, au rythme saccadé, au boogie woogie des vraies honky tons enfumés du sud des USA, il le maîtrise toujours aussi bien, pas de problème !

L’inévitable « You win again » est délivré avec la maestria habituelle avant un « Don’t put no headlstone on my grave » qu’il interprète aussi systématiquement depuis son retour sur scène il y a quelques années et qu’il termine comme toujours par : " No headstone, Baby, just a big monument, that’s all ! "

Vient alors un sweet little sixteen qui comme « Roll over Beethoven » peut faire palir de jalousie son créateur Chuck Berry, et un formidable « Hadacole Boogie »…On n’a pas le temps de s’ennuyer, on se régale, quand déjà, Jerry entame furieusement « You shake my name and you rattle my brain… » (Great Balls of Fire) Ovation dans la salle, et le public se lève sur le titre suivant « Whole lotta shakin goin on » bien sur ! Jerry repousse le tabouret, alors que le public s’est précipité au bord de la scène, standing ovation pour le Killer qui nous salue, fait une courbette, et quitte la scène ! Voilà, c’était bien sur trop bref (une petite heure syndicale) mais c’était bon, c’tait vach'ment bon ! The Killer is still alive, he can still cut the mustard and kick asses ! (vivement la prochaine fois !)

Salut Tupelo Mississipi Flash,

Le débrief du concert de jerry lee au " palais des congrés de Paris,le 12 mars ",comme tu le raconte on croirait qu'on y ait.Tu dis ; vivement la prochaine fois,moi je dirais pas mal de fois en plus c'est un des seul que
je veux encors voire je l'espère.Il est génial "c'est moi le meilleur,le ROCk'N'ROLL ne mourra pas " et tu vois il est toujours là! super.
a bientot tupelo encors

Merci Tuppelo, vraiment super ce récit de ta soirée !!

https://www.youtube.com/watch?v=2dEUzVRPuR4

https://www.youtube.com/watch?v=hKMkdY0PqlM

https://www.youtube.com/watch?v=SoCO2ROsSaI

https://www.youtube.com/watch?v=zubMTYJcbko&mode=related&search=

https://www.youtube.com/watch?v=-hLfOIs4kvE&mode=related&search=

https://www.youtube.com/watch?v=Kz1Y1ekHhF8&mode=related&search=

https://www.youtube.com/watch?v=dMdQuLyC7dI

https://www.youtube.com/watch?v=fd-xIhPlWNQ&mode=related&search=

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BEBOP

Biographie

Né le 29 septembre 1935 à Ferriday en Louisiane dans une famille pauvre, Jerry Lee Lewis a développé sa propre approche féroce du piano dès l’âge de 10 ans, synthétisant les sons boogie-woogie qu’il écoutait à la radio avec le Rythm n’Blues du Sud qui émanait du Haney’s Big House, un Juke Joint (boîte de nuit où se joue le delta Blues dans le delta du Mississipi) possédé par son oncle.
Jerry Lee est plus tard inscrit par sa mère au Southwestern Bible College à Waxahatchie au Texas mais n’y reste pas très longtemps. L’appel des sirènes de la musique l’a amené sur une trajectoire qui allait changer le monde. En rassemblant des éléments de Rythm n’Blues, de Boogie Woogie, de Gospel et de Country dans un son qui n’appartenait qu’à lui, Jerry Lee Lewis est devenu un membre à part entière de la scène Rock n’Roll émergeante qui était en train de supplanter les grands orchestres de musique populaire.

Après avoir quitté l'école, Il fait des petits boulots et se marie deux fois.

En 1956, il commence à enregistrer chez Sun, à Memphis. Il y rencontre des artistes comme Carl Perkins, Johnny Cash ou encore Elvis Presley.

Il stupéfie par sa culture musicale, et son énergie. Il danse debout devant et dessus son piano.Avec les sorties de « Whole Lotta Shakin’ Goin’ On » et de « Great Balls of Fire » en 1957, le flamboyant jeune performer s’est imposé dans les charts Pop, Rythm n’Blues et Country et a débarqué sur les écrans pour des rôles performances dans les films « High School Confidential » et « Jamboree ». Quand Elvis a vu Jerry Lee Lewis jouer, il a déclaré que s’il pouvait jouer du piano comme ça, il arrêterait de chanter. Sa carrière météorique est stoppée en pleine trajectoire par son troisième mariage en 1958. Il épouse Myra Gale Brown, qui, non seulement est la fille de son oncle, mais n'est âgée que de 13 ans. Accessoirement, pour le Killer, il n'a pas réglé ses précédents divorces. Il est poursuivi pendant de nombreuses années par ce mariage. Ses cachets s'effondrent, ses disques sont bannis. Le public vient à ses spectacles pour le huer. Il reste marié 13 ans à Myra.

Il revient en grâce aux alentours des années 1970, et enregistre tout au long de sa carrière une quantité importante de disques.

Personnalité écorchée, buveur, consommateur de drogues, marqué par de nombreux drames familiaux, et démêlés avec la justice, Jerry Lee Lewis cultive le goût de la provocation et du paradoxe. Il affirme entre autres, que le Rock'n Roll n'aura été pour lui qu'un moyen de gagner de quoi enregistrer des disques de country, sa véritable passion.

Depuis le début, la confiance irrépressible voire arrogante et l’insatiable énergie de Jerry Lee Lewis lui ont valu un nombre incalculable de fans mais aussi d’ennemis. Sa carrière a été jalonnée d’exploits et de scandales : Il était le premier Bad Boy, la première légende du Rock n’Roll qui a préparé le terrain pour tous les suivants – des Rolling Stones à Pete Doherty.

À plus de 70 ans et avec plus de 25 millions de disques vendus à ce jour, Jerry Lee Lewis, le "Bad Boy of Rock'n'Roll" a toujours la même capacité à attirer et déchaîner les foules.

Œuvre

Parmi sa volumineuse discographie (plusieurs dizaines d'albums,
en comptant les albums publics et compilations),
il convient de citer les morceaux qui sont devenus des classiques :

Whole Lotta Shakin' Goin' On
Breathless
Great Balls of Fire
Hight School Confidential
Last Man Standing (2006)

Adaptations

En 1989, le film Great balls of fire, de Jim McBride, avec Dennis Quaid
et Winona Ryder, retrace la première partie de sa vie et son ascension fulgurante.
En 1999, la comédie musicale intitulée « Great balls of fire », avec Billy Geraghty reste à l'affiche toute l'année à Londres.

Anecdote

C’est lui qui inspira à Michel Berger l’écriture du tube
Il jouait du piano debout interprété par France Gall en 1980.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jerry_Lee_Lewis

:tarning: HI Pearly,

et pour cette bio qui est bien fait.

on va

:bisou: a toi et a plus keep on rockin

JERRY LEE LEWIS - INTERVIEW 1973

LE survivant !  Still Rockin

LE sauvage :





En feu :

J adore ces deux titres  

Ah que moi aussi ! Ah que sinon je les aurais pas mis !  

  Alors quand tu postes les YEYE la, tu les adores aussi  LOL

Bien sur !  

J ai la trouille chaque fois que je vois apparaitre le nom de Jerry Lee comme ça d un coup




OUF !   Long Live Killer !!!

Une réponse nous est parvenue de la part de Jerry :

  Alors ça va  

La presse de Barcelona parle de sont passage lors du Malboro Country Festival il y a quelques années: www.rollcallblog.blogspot.com

J´ai ouvert mes archives alors préparé vous

Dj EddieCesc