Sound Of Fifties

Howdy Cats and Kitten,



Depuis quelques années la révolution apportée par le web a ouvert les portes d’un univers musical illimité pour les amateurs de musique, les chanteurs, les journalistes et a grandement aidé à la préservation et au développement du Rockabilly et de la Country Music. Ce phénomène mondial permet de nouer des liens solides entre les amateurs, les chanteurs, les magazines. Tous ensembles, nous avons réussi à faire revenir sur scène des chanteurs, nous avons pu aider certains d’eux dans le besoin, en faire redécouvrir de nombreux oubliés depuis longtemps et partager des archives trop longtemps enfouies. Les chanteurs ont ouvert leur albums photos, partagé leurs souvenirs et accepté de correspondre avec chacun d’ente nous. Les « historiens » de la musique ont pu mettre en commun leurs connaissances, vérifier la qualité des informations, construire des discographies complètes et publier des documents incroyables. Les amateurs de vidéos sont comblés sur des sites où des performances 50’s incroyables côtoient les shows les plus récents. Des vidéos de Laura Lee Perkins à Viva Las Vegas étaient sur le web deux jours après. Les labels de disques ont trouvé un moyen de promotion et de diffusion peu onéreux et international. Le coté sombre de la force est que le « burning » pénalise des labels honnêtes comme « Stomper Time » ou « Bear Family » ou les disques autoproduits comme « Crazy Time Music ». Les groupes actuels y trouvent un moyen aisé de promouvoir leurs concerts et des artistes 50’s en profitent pour produire et distribuer eux-mêmes leurs enregistrements. Des sites bien tenus comme « Rockin Country Style », « RockaRocky », « Black Cat », « The Hound », « The Big V Jamboree » nous apportent des tonnes d’informations essentielles … Du Nord au Sud, d’Est en Ouest ce vieux monde « rock and roll » peut être davantage que dans les 50’s.



Cette nouvelle technologie a trouvé sa place au cotés des livres et des magazines comme « Now Dig This », « Blue Suede News », « Big Beat of the 50’s », « American Music Magazine » ou « Rock and Roll Revue » pou n’en citer que quelques uns. Non seulement l’internet n’a pas tué ces magazines mais il les a même aidé à se développer. Beaucoup des contributeurs et des lecteurs sont également des internautes. Exactement comme un single à deux faces … Le web et les magazines forment un parfait duo ! Les vieux collectionneurs savent que le papier, comme le vinyl, ne fera pas l’objet d’une attaque par un quelconque virus malveillant. Mais ils ont aussi bien souvent une clé USB !



Bien entendu, tout a un coût que ce soit un magazine ou un disque. Ce prix n’est pas constitué que par la matière première mais aussi par des frais liés aux communications téléphoniques, à la correspondance papier, aux déplacements, à l’achat de documentations, aux frais de promotions et de distribution.



La gratuité de l’Internet à malheureusement laissé penser à beaucoup que tout cela fonctionnait sans aucun frais et sans logique économique. Il est naturel de servir sur le web et, puisque c’est gratuit, c’est que cela ne coute rien. Pas de dépense pour l’utilisateur … pas de remerciement pour le web master.



Dans les 50’s, il fallait mettre son nickel dans le Jukebox pour écouter de la musique … Maintenant, c’est gratuit avec les « files shares ».

Dans les 60’s, il fallait acheter des timbres pour écrire aux artistes et aux labels de disques …

Maintenant, c’est gratuit avec « Outlook »

Dans les 70’s, vous deviez casser votre tirelire pour des vidéos pirates médiocres en VHS …

Maintenant, c’est gratuit avec « You Tube »

Dans les 80’s, vous deviez mettre de l’essence et faire des kms pour voir un artiste …

Maintenant, c’est gratuit avec « Yahoo »

Dans les 90’s, vous deviez acheter vos disques et pouviez fouiller dans des bacs …

Maintenant, c’est gratuit avec le « Burning » et les « files shares »



Nous ne sommes pas bloqué dans les 50’s et cette argumentation est partiale bien entendu mais est-ce que tout cela ne coute rien et est réellement gratuit ?



Il y a bien entendu des fais lié au fonctionnement d’un site internet ne serait-ce que son hébergement, sa maintenance et le besoin en matériel. De nombreux sites « professionnels » vivent de la publicité et de la collecte/revente d’informations vous concernant. Pour les petits sites, il faut assumer ces frais seul. Le prix de la passion !



C’est pourquoi « Sound of the 50’s » et « Le Rockabilly Hall Of Fame » ont besoin de votre soutien pour pouvoir continuer de fonctionner. Il y a encore un travail immense à faire et beaucoup à partager dans le futur. Nous voulons continuer à créer des liens entres les artistes et les amateurs, entre les internautes, avec les Revues et les organisateurs de concerts. Nous souhaitons donner corps à une communauté virtuelle.



Si vous pensez que le disque dur de votre ordinateur doit se remplir gratuitement, oubliez nos divagations d’un autre temps. Si au contraire vous souhaitez soutenir des sites gérés par des amateurs pour des amateurs, rejoignez nous et devenez membre à vie. Comme des les 50’s, vous aurez votre carte de membre et vous aiderez à la promotion de la musique que vous aimez. Vous pourrez dire : I am a Member. Comme dans les 50’s quand des Teenagers rejoignaient les fans clubs d’Elvis, Jerry Lee Lewis, Fats Domino ou Carl Perkins. De jeunes artistes dont le futur était incertain. Nous espérons que d’autres sites web nous rejoindrons dans cette démarche consistant à transformer d’une communauté « virtuelle » … en réalité humaine. Dans l’immédiat, voici les adresses internet des deux sites concernés :



www.soundofthefifties.org

www.rockabillyhall.com



Keep on rockin’ and rollin’ with that web wonder!



Fréderic BA et Bob TIMMERS.

Eddie pour l'info ! J'ai déplacé ton post dans la rublique "let's talk" car le Bar est privé pour uniquement les membres, donc ici, il sera lu par plus de personnes !

Je pense que je vais m'inscrire, je viens juste de contacter Dadou !

Tout ce que tu dis est vrai, pas seulement pour le rockabilly d'ailleurs. D'un côté, le net permet à des petits groupes locaux d'être connus à distance et de ne pas rester obscurs chez eux. D'un autre côté, le net c'est un peu la conso rapide et superficielle. On écoute, ouais, c'est bon et on passe à autre chose et encore autre chose (qui ne s'est jamais égaré de son but, en allant de lien en lien??)

Je crois que ce n'est pas vraiment la même "clientèle" qui achète réellement les disques que celle qui consomme presqu'exclusivement sur Internet.

Ceux qui vivent et aiment leur musique, se servent d'Internet pour trouver, chercher, découvrir mais continuent à aller aux petits concerts, acheter leurs Cd etc...selon leur pouvoir d'achat, et parfois au delà. Ils participent à des forums, comme celui-ci (c'est une bonne chose quand même) et s'ils sont collectionneurs, profitent des sites d'enchères pour aller plus vite et "gagner" le disque convoité.

Quand j'étais jeune (et oui je l'ai été un jour), j'avais fort peu d'argent de poche et j'enregistrais sur un gros enregistreur à bandes tout ce que j'aimais. Je réenregistrais plusieurs fois sur les mêmes bandes. Je n'ai donc pas à l'époque participé à l'économie du disque.

Je n'étais pas la seule et pour les bouquins c'était la bibliothèque.

En résumé le débat ne sera jamais clos, le net a des avantages certains.
L'inconvénient serait plus une "superficialité" une "fugacité" du contact musical (sorry, je crois que j'invente des mots)

Mon mari est un collectionneur acharné, qui préfère se passer de manger, de boire et même de moi sans doute que de perdre un disque rare. Le net l'aide dans sa démarche, croyez-moi, cela n'a pas ralenti ses "achats" et la fièvre le prend aussi souvent que du temps des listes "papier".

enfin, tout ceci est mon simple avis
j'ai envie de lire les vôtres
à +

SALUT A TOUS ET BIEN VENUE SMARTY !
juste pour vour dire que mon pc ma lacher il a pris un virus de trois.... donc plus de tour pr le moment
retour que dans 8 / 10 jours .
en attendent passer un bon week end et une bonne semaine .

je te le redit jolio bon anniv.....

aller amities a tous et a plus. bye bye ....