BOBBY CROWN – 67 YEARS OLD AND « ONE WAY TICKET » TO SUCCES
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Sujet: BOBBY CROWN – 67 YEARS OLD AND « ONE WAY TICKET » TO SUCCES Mar 11 Mar 2008, 20:54
BOBBY CROWN – 67 YEARS OLD AND « ONE WAY TICKET » TO SUCCES
Durant les années 60, Bobby travailla à plusieurs reprises avec Ray Sharpe, le créateur de « Linda Lou ». Ray Sharpe se rendait de temps en temps dans l’un des clubs où le groupe jouait et les rejoignait sur scène. En 1969, ils lui servirent de backin’ band pendant 6 mois dans un club nommé « The Playmate ».
BOBBY CROWN – 67 YEARS OLD AND « ONE WAY TICKET » TO SUCCES
Bobby Crown aura mis presque 65 ans avant de venir en Europe pour quelques concerts en Suède, en Angleterre, en Espagne et en France. Pendant bien des années nous avons du nous contenter du single Dee-Jay Jamboree et des deux photos figurant sur la pochette. Une fois de plus, le nouveau millénaire nous amene ce que nous cherchions en vain depuis des années et nous avons pu, grâce à Bobby Crown lui-même, vous vous présenter une solide biographie dans « Rock and Roll Revue ». Bobby de retour en Finlande au début du mois à fait parvenir à nos amis de « Big Beat » quelques photos inédites dont nous souhaitons vous faire bénéficier. Avec cet article auquel il convient d’ajouter les CD’s Collector, Texan Records et Lenox, vous saurez à peu près tout sur Bobby Crown. A real great Cat from Fort Worth, Texas!
Robert Louis Krajca naquit le 07 mars 1941, dans une famille originaire de Tchécoslovaquie, quoique son père, Erin, soit né au Texas. Celui-ci jouait de la contrebasse dans un groupe baptisé « Ernest Winnett & The Texas Trail Blazers » dont le vocaliste, Ken « Pee Wee » Short, aura un disque sur le label Cowtown Hoedown en 1957. « Pee Wee », maintenant décédé, apprit à Bobby, alors âgé de 5 ans, les deux premières chansons de sa longue carrière. Parmis elles, « Remember Me » de Stuart Hamblen qui fera plus tard parti des démos enregistrés par Laura Lee Perkins en 1957 et qui sera sur le premier LP de Johnny Cash. Bobby se mettra rapidement à la guitare et commencera à se produire sur scène avec son père en 1953 dans des shows tels que le « Cowtown Hoedown » ainsi que dans différents clubs de la région. Il y interprétait des morceaux de ses artistes préférés parmis lesquels Jim Reeves, Mitchell Torok ou Marty Robbins. Il se fera aussi un peu d’argent de poche en jouant, accompagné de son père, dans un bar du quartier pour les pourboires. Souvent, il empochait 7 ou 8 dollars ce qui n’était pas mal pour l’époque.
En 1955, son père Leslie et trois autres musiciens formèrent un groupe pour jouer dans un club nommé « The Lavida Club » situé sur la Mansfield Highway. Le premier soir, le chanteur n’étant pas là, Bobby le remplaça au pied levé. Il restera avec le groupe composé également de Bob Lupkins (fdl/gtr) et de Jay Cashion (gtr) qui sera rapidement remplacé par Eddie Conley.
B. Crown et ses parents 1949
Le 29 mai 1955, le « Hank Snow All Stars Jamboree » sera à Fort Worth et Bobby sera parmi les spectateurs. Ce show proposait en première partie Jimmy Rodgers Snow, The Davis Sisters, The Wilburn Brothers and Onie Wheeler. La seconde partie était assurée par Mother Maybelle Carter, Faron Young, Elvis et Hank Snow. Bobby se rappelle bien qu’Elvis interpréta « I forgot to remember to forget » en précisant au public que le morceau n’était pas encore sorti. Bobby fut très impressionné par ce morceau, composé par Charlie Feathers, qui sortira en Aout 1955 sur le single Sun 223. Comme beaucoup d’autres, Bobby décidera de suivre les traces du Hillbilly Cat. Bobby se rappelle aussi avoir vu Jerry Lee Lewis, alors au tout début de sa carrière, au Crystal Springs Ballroom à Fort Worth.
Fin 55 ou début 56, Bobby accompagné du groupe de son père se rendra au Clifford Herring studio, à Fort Worth, pour graver deux démos de « Shake, Rattle and Roll » et « Fraulien ». Bobby qui était un auditeur régulier du Louisiana Hayride et de la KNOK, un radio R’n’B, était familier avec la version originale de « Shake, Rattle and Roll » interprétée par Joe Turner. Quand à « Fraulien », un classique composé par Lawton Williams, ce morceau était déjà bien populaire avant que Bobby Helms ne l’enregistre. Hormis ces titres, Bobby interpréta sur scène quelques autres titres R’n’R tels que « Henrietta » de Jimmy Dee (TNT 148) qu’il enregistra en 1962 et « Miss Ann » de Little Richard (Specialty 606).
Après un changement de guitariste, Bobby apparaitra dans un show TV de Dallas, « The Country Picnic », produit par Jimmy Fields et Joe Bill. Jimmy Fields, sorte de promoteur/song writter/singer local, qui avait refusé à Lawton Williams son morceau « Fraulien », avait fondé le label « Felco ». Vers la fin 57, Bobby ajoutera un batteur nommé Gilbert Gray à sa formation et, tout comme Buddy Holly, il passera beaucoup de temps à répéter avec son groupe chez ses parents. Cela amena Johnny Krejca, son frère cadet né en janvier 46, à se fabriquer une paire de drums sticks et à essayer de jouer en écoutant la radio.
Son groupe sera baptisé The Kapers ce qui signifie « Ceux qui s’amusent, qui prennent du bon temps ». L’orthographe exacte de ce mot est « Capers » mais il préféra y mettre le « K » de Krajca. Il d’ailleurs amusant de noter que l’on voit souvent, dans les 50’s, « Cats » et « Cool » aussi écrits avec un « K ».
En 1958, Jimmy Fields utilisera Bobby et son groupe pour enregistrer des démos de ses compostions parmi lesquelles « Lucky, Lucky Me » et « A Chicken is a bird » qui sont deux excellents boppin’ rockabillies. Enregistrés dans de meilleures conditions, ils auraient pu faire un excellent single comme le prouvent les versions gravées en 2005 pour « Lenox » records. Un autre morceau composé par Bobby, « Wait a Minute », sera crédité à Bob Lumpkins qui servait plus ou moins de manager au groupe. La même année, Bobby se maria pour la première fois et finira ses études.
En 1959, Bobby et ses Kapers augmentés d’un pianiste gravèrent quelques nouveaux démos au Clifford Herring studio dont les excellents « I gotta Hurry » et « Bouncy Beat » ainsi qu’une première version de « One Way Ticket » et « Your Conscience ». Impressionné par les démos, Jimmy Fields, décida d’organiser une nouvelle session dans le même studio et de sortir « One Way Ticket » et « Your Conscience » sur le single Felco 102. Le single fut pressé en Indiana mais le premier lot avait le nom des compositeurs inversés sur les morceaux. Celui fut renvoyé mais le second pressage arriva avec une face qui mentionnait « Bobby Lumpkins » comme étant le chanteur de « One Way Ticket ». Finalement, un troisième pressage correct sera effectué avec « Bobby Crown and The Kapers » comme interprète des deux faces ainsi que Bobby comme compositeur de « One Way Ticket » et Bob Lumpkins comme compositeur de « Your Conscience ». Les deux premiers lots auraient du être détruits ce qui ne fut manifestement pas le cas. Cela entretenu pendant des années la confusion autour de ce rare single. Les photos de ces trois pressages figurent dans le booklet du CD Collector.
Pour l’année 1959, ces deux faces sont d’une qualité rare avec un son qui n’est pas sans rappeler celui du studio « Sun ». « One Way Ticket » sera présenté dans la revue Billboard, en Mai 1959, comme un « hard-driving rockabilly ». Ce morceau sera reprit par de nombreux artistes dont Eddie Bond en 1979. Eddie accompagné de Marcus Van Story, Al Hopson , Jerry Lee Smith et Jimmy Van Eaton, en grava une superbe version qui est désormais disponible sur le CD Stomper Time « Eddie Bond – Memphis Rockabilly King ».
Afin de promouvoir « Your Conscience », Jimmy Fields fera passer Bobby et son groupe au Big D Jamboree, fin 1959. Portant « black slacks and two tones shoes », Bobby n’y fera qu’un passage. N’étant pas payé pour ce show, il préféra continuer à se produire dans les clubs le samedi soir plutôt que de bénéficier de l’hypothétique promotion que pouvait lui apporter le Big D Jamboree. Cette même année, les Kapers accompagneront pendant quelques temps Georges Jones.
Sujet: Re: BOBBY CROWN – 67 YEARS OLD AND « ONE WAY TICKET » TO SUCCES Mar 11 Mar 2008, 20:57
Peu après l’enregistrement de ce single, le père de Bobby quitta le groupe ainsi que Gilbert Gray, le batteur, qui ne pouvait pas jouer tous les soirs. Bobby demanda à son frère John, âgé de 14 ans, de rejoindre le groupe ponctuellement puis définitivement. Il y restera pendant treize ans ce qui lui laissa largement le temps de rembourser à ses parents le set de drums qu’il avait acheté chez Sears. Le groupe avait plusieurs engagements réguliers dans les night clubs de la région et Bobby partageant les cachets en parts égales, le job était intéressant. Cette démarche était peu commune à l’époque car même les musiciens d’Elvis ou les Comets étaient « salariés » avec un fixe dont ils devaient parfois déduire le transport, le logement ou les repas. Peu importe le cachet perçu par Elvis ou Bill Haley et l’importance de leur contribution au succès de leur leader.
Ils se produisaient aussi régulièrement pour des soirées organisées par les fraternités de l’Université du Texas, de la Texas Tech ou de la North Texas State University. Cette dernière, située à Denton, eut parmi ses étudiants Roy Orbison, Dick Penner, Wade Moore, Bob « Git It » Kelly, The Strikes entre autres. A Craddle of Rockabilly cats ! Les Kapers servirent également de backing band pour Jimmy Fields sur « Birth of The Rock’n’Roll », un démo qui figure sur le CD Collector.
En 1960, Bobby gravera plusieurs faces pour le label Manco de Fort Worth. « Wait a Minute » et « I’ve Never Had A Broken Heart », attribuées à Bob Lumpkin bien que Bobby en soit le compositeur, seront sorties sur le single ML 1105. Ce seront les premiers enregistrements de Bobby avec son frère et sans son père. Une autre session, la même année, donnera naissance à un très bon cover, avec sax, de « Sugar-Coated » de Johnny Horton ainsi qu’à «I Know Heaven’s Waitin’ » et « Secret Dreams ».
Après deux singles, mais sans aucun résultat en termes de ventes, Bobby et son groupe continuèrent à jouer dans les clubs de Fort Worth et des environs. Une session en 1962, dans les studios Oakridge, nous prouve qu’ils pouvaient faire d’excellentes prestations avec des morceaux tels que « Fannie Mae » (Buster Borwn), « Henrietta » (Jimmy Dee) ou « Thirty Days » (Chuck Berry). Cette version du classique de Chuck peut largement entrer en compétition avec celle de Ronnie Hawkins. Pur frantic Rock’n’Roll !
Une nouvelle session en 1964 ne donnera rien. En 1966, Bobby et son groupe, ayant un engagement dans un club exotique au nom de Omar Kayham, retourneront en studio à Fort Worth. Durant cette session Bobby assurera le vocal sur « Just a Gigolo », son frère sur « Diddley Daddy », Glen Clark (piano) sur « Lonely Avenue » et Dale Morgan sur « Just a matter of Time ». Eddie Slivers, le propriétaire du club, décida de sortir « Lonely Avenue » et « Diddley Daddy » sur le single Omar 101. Le disque se vendra bien auprès des clients du club, où les serveuses travaillaient en tenue de Shéhérazade, mais guère plus. Glen Clark quittera le groupe et rejoindra plus tard Kris Kristofferson.
B. Crown 1954
Durant les années 60, Bobby travailla à plusieurs reprises avec Ray Sharpe, le créateur de « Linda Lou ». Ray Sharpe se rendait de temps en temps dans l’un des clubs où le groupe jouait et les rejoignait sur scène. En 1969, ils lui servirent de backin’ band pendant 6 mois dans un club nommé « The Playmate ».
Bobby se produira avec son groupe jusqu’en 1990, date à laquelle il décidera de raccrocher après vingt ans de collaboration avec son guitariste Buddy Webb. Il continuera toutefois à composer et à enregistrer des morceaux à ce jour inédits tels qu’une version de « One Way Ticket » avec harmonica, une version bluesy de « Something in her Genes » ou un excellent country avec fiddle ayant pour titre « No easy Way to Go ». En 2003, Bobby sortira plusieurs de ses enregistrements 50’s sur le CD Texan puis Cees Klop sortira quelques titres sur Collector après avoir fait l’acquisition de bandes auprès de Jimmy Fields. Sur ce CD légal, plusieurs titres tels que « Green Eyed Baby » (Jimmy Fields), « I’m in love Alain », « This feeling Is Killing Me », « Your Lover Man » ou « Looking for Love » sont attribués à tort aux Kapers. Ce CD nous propose toutefois, deux versions de « Bouncy Beat » (dont la n° 4 n’est pas de Bobby & The Kapers) et « After School » (par Bill Taylor) non disponibles ailleurs.
En octobre 2003, Wildfire Willie & The Ramblers se produisant au Continental Club à Austin (Tx), ils rencontreront Bobby. Suivra un voyage en Suède, fin 2004, pendant lequel il fera une visite éclair en France. Il fera son premier concert en Europe dans un bar parisien. De retour en Suède, il se produira à Stockholm et enregistrera les morceaux qui figurent sur le CD Lenox 1024 (www.lenox-records.com). Ce très bon disque nous offre le boppin’ « Birth of Rock & Roll » mais aussi de sympathiques ballades country come « Five O’clock News » ou « Don’t Tell my Wife I’m Here ».
En avril 2005, Bobby s’est produit au festival de Green Bay (USA) avec Art Adams. En mai 2006, il était de retour en Europe à Hemsby où il partagea l’affiche avec Carl Mann. En Octobre 2006, Bobby était en France avant de jouer en Espagne. Par ailleurs, «One Way Ticket » et «Your Conscience » sont ressortis en single avec une pochette photo. Ce disque sorti légalement par Bobby Crown a été pressé à 500 exemplaires avce le label Felco et sera rapidement un « collector » item. Vous pouvez vous le procurer directement auprès de Bobby pour 25 $, frais de port compris. Don’t miss it !
Bobby vient juste de rentrer de Finlande où le magazine « Big Beat » lui a consacré un article de deux pages avec les photos inédites que nous proposons dans cet article. Bobby nous les a gentiment fait parvenir pour votre plaisir. Cette superbe photo de lui prise en 1954 sur la moto du propriétaire du garage pour lequel il travaillait nous ramène au légendaire « Hollywood Rock’n’Roll ». J’espère qu’elle fera la cover d’un prochain LP ou CD qui viendra probablement de Suède. La seconde photo de Bobby avec ses parents et de son frère à été prise en 1949 à Fort Worth. Son père porte sa tenue de « truck driver » et les deux enfant sont … pieds nus ! Bobby ne se doutait pas, alors, qu’il aurait un article en France pour son 67 ème anniversaire … En fait, il n’a jamais pensé qu’il vivrait aussi longtemps.
Après ses différents concerts en Europe et aux USA, Bobby a maintenant en mains «His
one way ticket to succes»! Don’t miss him if he’s around and buy his “Lenox” record.
Nombre de messages : 1856 Date de naissance : 02/01/1963 Age : 61 Localisation : france bas-rhin Date d'inscription : 26/02/2007
Sujet: Re: BOBBY CROWN – 67 YEARS OLD AND « ONE WAY TICKET » TO SUCCES Mer 12 Mar 2008, 01:49
:tarning: Héllo Slapy,
comment vas-tu?
POUR TON DOCUMENT SUR BOBBY CROWN,c'est génial, à toi. J'ai juste trouver cette vidéos sur Bobby Crown avec Jan le chanteur de Wildfire willie à la guitare sèche.
encors. A TOI AMICALEMENT KEEP ON ROCKIN la guitare sèche du
Invité Invité
Sujet: Re: BOBBY CROWN – 67 YEARS OLD AND « ONE WAY TICKET » TO SUCCES Mer 12 Mar 2008, 14:43
Hello Gigi
De rien c'est un plaisir :528426:
pour ta video et pour ton message , ravie que tu as aime le post sur Bobby Crown
pour toi Gigi
BIRDY ADMINISTRATRICE
Nombre de messages : 41735 Date de naissance : 05/12/1964 Age : 59 Localisation : Aux portes des Monts d'Arées emploi : Forumeuse Date d'inscription : 10/03/2006
Sujet: Re: BOBBY CROWN – 67 YEARS OLD AND « ONE WAY TICKET » TO SUCCES Mer 12 Mar 2008, 17:27
Très belle bio Slappy, !!!
Dj Eddie-Cesc Méga Rockin
Nombre de messages : 5836 Date de naissance : 02/01/1964 Age : 60 Localisation : Catalunya Date d'inscription : 13/05/2011
Sujet: Re: BOBBY CROWN – 67 YEARS OLD AND « ONE WAY TICKET » TO SUCCES Mer 16 Nov 2011, 17:54
Bobby Crown - "One Way Ticket"......... https://www.youtube.com/watch?v=1bcp0hm91ts&feature=related
nifluril Méga Rockin
Nombre de messages : 529 Date de naissance : 17/10/1983 Age : 41 Localisation : Pharmacie emploi : Apaiser les douleurs articulaires du 3° age Loisirs : Dormir Date d'inscription : 21/12/2010
Sujet: Re: BOBBY CROWN – 67 YEARS OLD AND « ONE WAY TICKET » TO SUCCES Mer 16 Nov 2011, 20:29
Je viens de lui commander son single !! ( One way ticket , qu'il a ré-édité ) !!! J'adore , suis fan !!!
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Sujet: Re: BOBBY CROWN – 67 YEARS OLD AND « ONE WAY TICKET » TO SUCCES
BOBBY CROWN – 67 YEARS OLD AND « ONE WAY TICKET » TO SUCCES
Sujet: BOBBY CROWN – 67 YEARS OLD AND « ONE WAY TICKET » TO SUCCES 
Durant les années 60, Bobby travailla à plusieurs reprises avec Ray Sharpe, le créateur de « Linda Lou ». Ray Sharpe se rendait de temps en temps dans l’un des clubs où le groupe jouait et les rejoignait sur scène. En 1969, ils lui servirent de backin’ band pendant 6 mois dans un club nommé « The Playmate ».
POUR TON DOCUMENT SUR BOBBY CROWN,c'est 
à toi.
A TOI AMICALEMENT KEEP ON ROCKIN
