rockabilly

allez un peu de lecture

attention .... en anglais

joe

http://www.rockandroll.gr/index2.php?option=com_content&do_pdf=1&id=101

Rockabilly est l'un des premiers styles de rock and roll, et a émergé dans les années 1950.
Le rockabilly terme est un mot-valise de roche (de rock 'n' roll) et hillbilly, le second une référence à la musique country
(souvent appelée la musique hillbilly dans les années 1940 et 1950) qui a fortement contribué au développement du style. D'autres importants
influences sur rockabilly comprennent western swing, boogie woogie et le rhythm and blues. Bien qu'il existe de notables
exceptions près, ses origines se situent principalement dans le sud des États-Unis.

L'influence et la popularité du style décliné dans les années 1960, mais durant la fin des années 1970 et début 1980, rockabilly
connu un renouveau important de la popularité qu'il a enduré jusqu'à présent, souvent dans une sous-culture rockabilly.
Sommaire
origines
Il y avait une relation étroite entre le blues et la country music à partir des enregistrements tout premiers pays dans le
Années 1920. La première à l'échelle nationale "pays" a été touché "Wreck of the Old '97", [1] [2] soutenu avec «Lonesome Road Blues», qui
est également devenu très populaire [3]. Jimmie Rodgers, la «première étoile véritable pays", a été connu comme le bleu "
Yodeler », et la plupart de ses chansons utilisées progressions d'accords de blues à base, bien que très différents
instrumentation et sonore que les enregistrements de ses contemporains noir comme Blind Lemon Jefferson et Bessie
Smith [4].
Pendant les années 1930 et 1940, deux nouveaux sons émergé. Bob Wills et ses Playboys Texas ont été les principaux promoteurs
du Western Swing, qui a combiné le chant et la guitare en acier pays avec de grandes influences jazz-band et de sections de cuivres;
La musique Wills trouvé la popularité massive. Enregistrements des testaments »des années 40 au milieu des années 50 au début composé de« deux Jazz Beat "
rythmes, «chœurs de jazz», et de travailler la guitare qui a précédé premiers enregistrements de rockabilly [5]. Wills est cité comme disant «Rock
and Roll? Pourquoi, l'homme, c'est le même genre de musique que nous avons été Playin 'depuis 1928! ... Mais c'est juste le rythme de base et a
passé beaucoup de noms différents dans mon temps. C'est la même chose, si vous suivez un rythme de batterie comme en Afrique ou l'entourent
avec beaucoup d'instruments. Le rythme de ce qui est important. "[6]
Après artistes blues comme Meade Lux Lewis et Pete Johnson a lancé un engouement boogie à l'échelle nationale à partir de 1938, le pays
des artistes comme la Lune Mullican, les frères Delmore, Tennessee Ernie Ford, Speedy West, Jimmy Bryant, et le Maddox
Frères et Rose a commencé à enregistrer ce qui était connu comme "Boogie Hillbilly", qui se composait de "hillbilly"
chant et l'instrumentation avec une ligne de basse de boogie [7].
Les Frères Maddox et Rose étaient «à la fine pointe de rockabilly avec la basse giflé que Fred avait Maddox
développés ». [8] [9] Maddox a dit," Vous devez avoir quelque chose », ils peuvent puiser leur pied, ou danser, ou pour faire 'em sentir."
Après la Seconde Guerre mondiale la bande déplacé à la vitesse supérieure penchant davantage vers un lunatique honky-tonk sentir, avec un lourd
l'extrémité inférieure maniaco - la basse slap de Fred Maddox. "Ils jouaient de la musique hillbilly, mais cela sonnait vrai chaud. Ils ont joué réel
fort pour ce moment-là, trop ..."[ 10] Le Maddoxes étaient aussi connus pour leur animée "pitreries et tout ça." "Nous avons toujours mis sur un
spectacle ... Je veux dire qu'il n'était tout simplement pas nous là-haut Pickin 'et le chant. Il y avait quelque chose se passe tout le temps. "[11]« ... la
Maddoxes démonstratif, aidé communiqué corps blancs des mouvements traditionnels de bienséance ... plus en plus jeunes
artistes blancs ont commencé à se comporter sur scène comme le Maddoxes animé. "[12] D'autres croient que non seulement ils étaient à la
de pointe, mais ont été un des premiers, sinon le premier, "Rockabilly" groupe [13].
Zeb Turner's February 1953 recording of "Jersey Rock" with its mix of musical styles, lyrics about music and dancing,
and guitar solo,[14] is another example of the mixing of musical genres in the first half of the 1950s.
Bill Monroe is known as the Father of Bluegrass, a specific style of "country" music. Many of his songs were in blues
form, while others took the form of folk ballads, parlor songs, or waltzes. Bluegrass was a staple of "country" music in the
early 1950s, and is often mentioned as an influence in the development of rockabilly.[15]
The Honky Tonk sound, which "tended to focus on working-class life, with frequently tragic themes of lost love, adultery,
loneliness, alcoholism, and self-pity", also included songs of energetic, uptempo Hillbilly Boogie. Some of the better
known musicians who recorded and performed these songs are: the Delmore Brothers, the Maddox Brothers and Rose,
Merle Travis, Hank Williams, Hank Snow, and Tennessee Ernie Ford.[16]
Curtis Gordon's 1953 "Rompin' and Stompin' ", an uptempo hillbilly-boogie included the lyrics, "Way down south where I
was born, They rocked
Tennessee
Carl Perkins
Sharecroppers' sons Carl Perkins and his brothers Jay Perkins and Clayton Perkins, along with drummer W. S. Holland,
had been playing their music roughly ninety miles from Memphis. The Perkins Brothers Band, featuring both Carl and Jay
on lead vocals, quickly established themselves as the hottest band on the cutthroat, "get-hot-or-go-home" Jackson, TN
honky tonk circuit. Most of the requests for songs were for hillbilly songs that were delivered as jived up versions - classic
Hank Williams standards infused with a faster rhythm.[20] It was here that Carl started composing his first songs with an
eye toward the future. Watching the dance floor at all times for a reaction, working out a more rhythmically driving style of
music that was neither country nor blues, but had elements of both, Perkins kept reshaping these loosely structured
songs until he had a completed composition, which would then be finally put to paper. Carl was already sending demos
to New York record companies, who kept rejecting him, sometimes explaining that this strange new style of country with
a pronounced rhythm fit no current commercial trend. That would change in 1954.[21][22]

2 pages sur les 20 !!! merci google !!!

salut ROCKY

Ca c'est post qui me plaisent bonne idee d'avoir poste une reponse

joe

Salut Joe ,
ba ouais faut penser à ceux qui ne lise pas l'engliche !!!!

c'est pour ca que j'avais prevenu

mais tu as bien fait d 'intervenir la y a matiere a discussion

sutout qu'a l'epoque le rockabilly n'etait pas populaire aux etats unis .............je dis bien aux etats unis a l'epoque

je sais que vous allez hurler au scandale mais rensignez vous gaulois et vous verrez que je dis vrai........

le debat est lance

joe

joe a écrit:

c'est pour ca que j'avais prevenu

mais tu as bien fait d 'intervenir la y a matiere a discussion

sutout qu'a l'epoque le rockabilly n'etait pas populaire aux etats unis .............je dis bien aux etats unis a l'epoque
joe

Ca dépend dans quelle partie !

Comme c'est une musique du sud, va savoir pourquoi, il était plus populaire dans le sud ! ^^

en tous cas, c'est toujours pas très populaire ici, quand je dis que je fais parti d'un groupe de rockabilly, la plus part des gens ne savent pas de quoi je parle!!!

Tiens une petite question, est ce que à l'époque en France le Rockabilly était connu ( le terme était employé?) ou c'était un milieu assez fermé?
Car après avoir interroger mes parents et d'autres personnes de cette époque aucune d'elle ne connaissait...

On faisait bien la différence entre Rockn'roll et Rockabilly ou bien on mettais tout dans le même panier pour que ce soit plus facile pour les gens?

Je rejoins aussi tomlelandais, à l'heure actuelle pareil ont te prends pour un extraterrestre qu'on on sort Rockabilly!
Après quand on dis que c'est un genre de Rock ca va mieux!

allez j'amene de lo a ton moulin

les plus serieux guerriers se sont interesses a ce sujet en 1966 (en france)

a savoir que dix ans plus tot les gars qui jouaient (ce que nous francais nous considerons) cette musique dans les studios sun he bien les gars n'employaient pas du tout le terme rockabilly meme si a memphis les gars jouaient ca pour eux c;est des melanges de hilllbilly de blues de rythm n blues etc

alors que la france en 1966 applaudissait nos excellents ringards a tout rompre pendant ce temps la quelques solides guerriers utlisaient le mot rockabilly

c'est plutot un terme europeen qu'americain

le debat peut continuer

(renseigne toi gaulois (e) et tu verras que je dis vrai!)

joe

Merci pour ces précisions.

ROCK-A-BILLY
(Woody Harris / E.V. Deane)
GUY MITCHELL (Columbia 40877, 1957)

[Chorus]
Rockabilly, rockabilly, rockabilly, rock
Rockabilly, rockabilly, rock, rock, rock
Rockabilly, rockabilly, rockabilly, rock
Rockabilly, rockabilly, rock, rock

Some people think it came from Tennessee
Then spread on out to the lone prairie
It's the hillbilly rock, feeddlee dee
Turns me inside out
Gimme some

[Chorus]

Hey, grab yourself a partner, lose the blues
Wear your store-bought clothes and your stompin' shoes
Better head for the hills, gonna blow my fuse
Hooo, I'm gonna shout
Gimme some

[Chorus]

Since rockabilly swing the do-si-do
And the guitar man chase the old banjo
Leave the hoe for the crow, holler "Go, man, go!"
Wiggle like a trout
Gimme some

[Chorus]

From the moment that you feel this crazy beat
Ya gotta lose control or you're two left feet
Give me mountain juice, turn me loose
Leave me wave my arms about
Gimme some

[Chorus]

Ya know what rockabilly's all about
Ya know it's gonna make ya sing and shout
Ya know you're gonna act like a crazy fool
Who cares? It's cool !

Rockabilly, rockabilly, rock!, rock!

hep!! BIRDIE!!!

THAT'S 4 U



JOE LEEEEEEEEEEEEEEEETTTTTTTTTTT'S GOOOOOOOOOOO ROQUA BI LIT!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

J'adore Tex Williams, merci Joe

Allez un peux de British R&R https://www.youtube.com/watch?v=ieSW-XWEPL4 version de DON LANG and his Frantic Five.............Super souvenir de leurs prestacion en Belgique dans les 80s.
Dj Eddie-Cesc
*moi aussi j´adore Tex Williams

pour les amateurs de tex williams

ben si vous etes sages ......le joe y fra kettchose a propos du gars qui chantait smoke smoke smoke that cigarette

joe

and much more!!(warf!!)

Allez j' y vais de mon petit grain de sel et mes qq connaissances e la matiere dabord sur les termes rockabilly et rock and roll l'explication faite en hautest pour moi la bonne alors petit point supplémentaire a ajouter a cette jolie historiQUE LE PREMIER 45 T DE ROCK AND ROLL BLANC JE DIT BIEN BLANC est crazy man crazy de Bill Haley en 1953 meme si avant certain rnr classé dans les bilboards etaient deja present sous les label sun shees mais La chanté pr des noirs
quand au rock en france quand au post de joe la je ne suis pas du tout alors pas du tout D'ACCORD
1 debut des années 50 un petit gars né à Nice en 46 vit pres des bases militaires Américaines et decouvre les golden years et le rock and roll ce petit gars porte le nom d'Hervé Forneri qui deviendra 12 ans plus tard donc en 58 Dick rivers
2 eme preuve que le rock est arrivé bien avant 66 en france en 1957 Elvis fait son service en Allemagne et passe par le gol drouot ou il va faire un boeuf memorable avec les petits jeunes du club QUI HANTENT LES LIEUX JE NE LES CITERAS PAS TOUS MAIS SE TROUVAIT CE JOUR LA AVEC ELVIS jOHNNY hALLYDAY ET UN CERTAIN BURT BLANCA VOILA UNE PETITE CONTRADICTION AU POST DE JOE

hep dj

j e pense que tu n'as pas compris ce que j'ai explique

j'ai dit en france certains guerriers (je parle de fans de rock n roll qui collectionnaient et editaient des mags rock n roll )) ont des 1966 utiliser ce terme rockabilly qui leur avait ete surtout enseigne par les anglais ....

je parle de gens comme BARBAT ET LE GUERRIER DING DONG PLUS TARD et un certain coffey d'angleterre qui proposaient des 78 t sun pour 15 fr a l'epoque

les anglais grands collectionneurs de diques rares de nos jours etaient alles a memphis recuperer par wagons entiers fes tonnes de 78t et 45 t sun meteor etc etc

donc on est loin des dick machin de nice et autres ringards dont je tairais les noms.......pour pas leur faire de peine

je pense avoir amene de lo a ton moulin


joe

un plus pour dj

je vais t'epargner

bill haley a fait du rockabilly.....en 53 avec crazy man crazy je connais un peu bill haley..................ca m'etonnerait....... je file aux archives dis moi ou tu as lu ca ca m'interesse

joe

hop la j'arrive des archives

pas la moindre trace ou bill haley chante du rockabilly

mais j'ai trouve ca

http://bousculade.free.fr/culture/musique/country/histoire/rockabilly.php

je pense que tu as du lire cette information sur un quelconque forom dedie a bill allee

joe

ps esscuze pour les fote

Pure Rockabilly https://www.youtube.com/watch?v=d5cN1KAOOO4&feature=related
Dj Eddie-Cesc

allez j'en remets une couche

vous trouverez ci joint une liste d'autentiques guerriers de 1966 67 68 69 etc etc etc

ma reference bernard boyat
puis albert bouyat

puis quelques classiques

collange laffont thoney thura walter chanty grezes..........joe

je pense que notre ami dj boule connait tous ces solides guerriers (d'autres noms sont a venir)

ces guerriers etaient la a parler de rockabilly

alors que nos mignons et ringards etudiants se disputaient pour savoir qui etaient les meilleurs

les beufs atteles (beatles ) ou ou les rollinestone (et charden) rolling stones pierre qui roule en francais

dick riveurss ne fait pas partie de la liste de nom citee ci dessus

je file au pas de charge aux archives hop la!!!!!

joe

joe a écrit:

c'est plutot un terme europeen qu'americain
joe

Lord, it came rollin' out of Memphis
Like a hurricane or Texas tornado
It came rollin' out of Memphis
Like a hurricane or a Texas tornado
Yeah, it did...
And they called us rockabillies
Long before they called it rock 'n' roll
We took a little country music
Put some pop in and dressed it up in soul
We took a little country music
Put some pop in and dressed it up in soul
That's all we did...
And they called us rockabillies
Long before they called it rock 'n' roll
Yeah, rockabilly fever
Looks like it's coming back again, mm-mm
Ah, rockabilly fever
Look out, it might get you my friend
If that fever starts to get you
Lay back son, you just might explode
If that fever starts to get you
Lay back son, you just might explode
Look out...
And they called us rockabillies
Long before they called it rock 'n' roll
That's what we were, play it guitar, here we go...

Well, Elvis started shakin'
And the whole world shook a little too
I said Elvis started shakin'
And the whole world shook a little bit too
He said, that's all right mama
Mama, don't you step on my blue suede shoes
That's what the boy said...
Oh, rockabilly fever
Looks like it's coming back again
Won't it be fun..
Rockabilly fever
Look out, it might get you my friend
If that fever starts to get you
Just lay back son, you just might explode
If that fever starts to get you
Just lay back son, you just might explode
Well, they called it rockabilly
Long before they called it rock 'n' roll, oh yeah
Come on let's rock
Come on let's roll
Everybody let's rock
Everybody let's rock

solide shows

j'ai les videos fantastisques surtout avec jerry lee

pour le joe au dessus je parlais de BIG JOE le bos de rock n roll revue et non de joe celui de rcb les jean guy meunier etc etc etc etc

parcontre

il ya d'autres guerriers sur rcb pour qui j'ai un profond respect je ne les citerais pas cause ils n'aiment pas les feux de la rampe mais j'aimerais bien les rencontrer a une table

(je pense que le joe se ferait petit...la je parle de moi)

joe

777 a écrit:

Tiens une petite question, est ce que à l'époque en France le Rockabilly était connu ( le terme était employé?) ou c'était un milieu assez fermé?
Car après avoir interroger mes parents et d'autres personnes de cette époque aucune d'elle ne connaissait...

Salut 777 !!!...

Quand tu parles d'" epoque " tu parles de laquelle ?car si tu veux parler des annees 50 , voir 60 a mon avis , et ce n'est QUE mon avis ! alors s'il vous plait !!!! pas de polemiques ni d'insultes
A mon avis , le Rockabilly n'etait pas connus en France , ou treeeeeeees peu ! et par une poignee de mordus , de fan's
Pour la majorite des Francais il y avait une musique qui s'appelait Rock'n'roll et les seuls chanteurs connus etaient ; Elvis PRESLEY , Bill HALEY , Little richard , Jerry lee lewis etc... et pour certains plus au courant ; Gene vincent , Eddie cochran etc...qui eux jouaient du Rock'n'roll du Rythm'blues et du Boogie woogie
mais des chanteurs comme . Sonny fisher , Pat cupp , Glen glenn qui eux jouaient du Rockabilly n'etaient pas du tout connus , SAUF !!!!! par les aficionados
Puis , au cour des annees 60 tout devint " Rock'n'roll " ; les Rolling stones , les Who's , Janis joplin
Le terme " Rockabilly " est vraiment apparu en France mi 70 , debut 80 pour differencier le Rock'n'roll des fifties de l'ensemble de la musique rock , on peut dire qu'il a ete en quelques sortes " galvaude " car tout ce qui etait " 50 " etait " Rockabilly "
Pour moi , le Rockabilly est le rock'n'roll des petits blancs des etats du sud

Bon ! maintenant , si quelqu'un n'est pas d'accord avec moi , j'aimerais qu'il me le dise poliment

Quand j'ai dis à l'époque c'est a dire quand ca a débarqué en france grosso modo mais aussi les années suivantes.
La période où il y en a eut le plus de diffusé.

Limite on peu presque dire que le terme a été vraiment adopté pour le désigné quand le Rockabilly était presque finis dans les années 80.

Je pensais jusqu'à maintenant,que ce qui caractérisait le rockabilly était le "tic,tic,tic"que produisait la contrebasse,aurais-je tord???


DIDIER CONTREBASS par bubu-de-quiberon

The Maddox Brothers and Rose were at "the leading edge of rockabilly with the slapped bass that Fred
Maddox had developed". Maddox said, "You've got to have somethin' they can tap their foot, or dance to, or
to make 'em feel it." After World War II the band shifted into higher gear leaning more toward a whimsical
honky-tonk feel, with a heavy, manic bottom end - the slap bass of Fred Maddox. "They played hillbilly
music but it sounded real hot. They played real loud for that time, too..." The Maddoxes were also known
for their lively "antics and stuff." "We always put on a show... I mean it just wasn't us up there pickin' and
singing. There was something going on all the time. "...the demonstrative Maddoxes, helped release white
bodies from traditional motions of decorum... more and more younger white artists began to behave on
stage like the lively Maddoxes." Others believe that they were not only at the leading edge, but were one of
the first Rockabilly groups, if not the first

There's a brand new sound going 'round
You can hear it now in any town
There's two guitars and a man on bass
Startin' a-jumpin' all over the place
Well, it's a rockabilly rhythm
Man, it's really gone
It'll be goin' on tomorrow, if they can last that long
Well, it started with Elvis, long time ago
And it went to Charlie and Carl and so
Everyone picked up that crazy beat
You see, no-one could hold their feet
Well, it's a rockabilly rhythm
Man, it's really hep
You're gonna be a-jumpin', if you don't even know a step
Well, rock-rock, rock-rockabilly
Hey, rock-rock, rock-rockabilly
Well, rock-rock, rock-rockabilly
Hey, rock-rock, rock-rockabilly
Rockabilly rhythm is a-really comin' on
(Hey, let's rock now!)

Goulven a écrit:

Je pensais jusqu'à maintenant,que ce qui caractérisait le rockabilly était le "tic,tic,tic"que produisait la contrebasse,aurais-je tord???


DIDIER CONTREBASS par bubu-de-quiberon

Bien sure GOULVEN !!!... il y a un son " rockabilly"
pour moi , le rockabilly vient des etats du sud , des campagnes du Tennessee de l'Alabama , de la Caroline et des autres etats sudistes , donc c'est une musique simpliste , minimaliste , epuree , au contraire , le Rock'n'roll est une musique orchestree et , pour revenir a ce que je marquais plus haut , j'ajouterais qu'Elvis a joue du Rockabilly a ses debuts a l'inverse des autres comme Little , Jerry ou Gene mais il a vite bifurque vers le Rock'n'roll , peut etre conseille par le Colonel Parker qui jugeait surement que le Rockabilly ne sortirait jamais du sud des etats unis , et que ca ne serait pas bon !! ni pour la carriere de son poulain , ni pour son bizness

QU4EST CE QUE LE ROCKABILLY ???
C'est un mot-valise associant au mot "rock" le mot "hillbilly". Il s'écrit aussi Rock-A-Billy ou encore Hillbilly Rock et est parfois abrégé à l'oral en Rockab'. Le terme américain hillbilly fait référence à la musique country, issue de la musique rurale traditionnelle américaine, jouée pour danser, qu'on appelait souvent ainsi dans les années 1940 et 1950, ainsi qu'à l'idée stéréotypée des auditeurs de ce genre musical. En effet, l'équivalent français en est péquenaud, «rustaud» ou «plouc», même si littéralement cela se traduirait par un type de la colline. Ce terme est utilisé pour désigner péjorativement les fermiers des montagnes du sud des États-Unis.

Les années 1950, les origines et une rapide disparition[modifier]
Elvis Presley 1957.La date de naissance du rockabilly est généralement fixée au moment de la sortie du single That's All Right Mama d'Elvis Presley (produit par Sun Records) en 1954 qui s'est vu n° 1 aux États-Unis 50 ans après (source Billboard) ; le rockabilly est à l'origine l'œuvre de petits labels indépendants tels que Sun Records, label du producteur Sam Phillips. Ce dernier a commencé par enregistrer des artistes de blues tels que B. B. King ou Howlin' Wolf. C'est après le succès d'Elvis Presley qu'il commence à enregistrer d'autres chanteurs de Rockabilly tels que Johnny Cash, Carl Perkins (Blue suede shoes, Honey Don't, Baby trying to be my baby, Your true love), Roy Orbison (Rockhouse, Ooby dooby, Domino, Problem child, Pretty Woman), Warren Smith (Ubangui stomp, Uranium rock), Billy Lee Riley (Flying saucers rock n'roll, Red hot), Jack Earls (Let's bop), la chanteuse Barbarra Pittman (I need a man), puis des chanteurs de rock 'n' roll comme Jerry Lee Lewis, Carl Mann et Charlie Rich.

D'autres labels ont également marqué l'histoire du rockabilly comme Meteor et King avec les enregistrements de Charlie Feathers et Mac Curtis, Starday records avec Benny Joy, Sonny Fisher, George Jones,Sleepy LaBeef etc. Il y eut également des majors comme CBS qui ont su enregistrer des artistes comme Sid King and five strings, Johnny Horton, Ersel Hickey, Collins kids et Ronnie Self, MGM avec Andy Starr, Marvin Rainwater, Decca et Brunswick Records avec les premières faces rockabilly de Buddy Holly avant qu'il ne fasse que du rock 'n' roll), Johnny Carroll and the Hot rocks, Roy Hall, Terry Noland et les enregistrements du trio rock 'n' roll de Johnny Burnette. Certains labels spécialisés dans le blues et rhythm and blues ont également eu des artistes de rockabilly à leur catalogue comme Chess Records avec Dale Hawkins, Rusty York et Bobby Sisco.

« Rockabilly » est un terme souvent galvaudé pour désigner le rock des années 1950, mais il s'agit d'un style musical bien précis et qui s'avère quelquefois difficile à distinguer de l'œuvre de certains chanteurs de rock 'n' roll « Blanc » comme Jack Scott ou Gene Summers. Le rockabilly et son pendant direct, le rock 'n' roll, ont rapidement évolué vers d'autres formes de rock pour disparaître presque complètement vers 1958.

ROCKABILLY : style particulier de rock'n' roll apparu en 1954 dans les etats du centre sud des Etats-Unis.

A la croisée du rock'n' roll et du style hillbilly (country), ce terme a désigné un style de rock'n' roll propre aux chanteurs et musiciens blancs des Etats du sud central des usa. Incarné par Elvis Presley à ses débuts à Memphis, il a connu un âge d'or entre 1954 et 1958. Sa pureté stylistique en a fait l'objet d'un culte qui ne donne pas signe de s'éteindre. Il a aussi connu plusieurs phases de renouveau.

Quand Sam Phillips, directeur des disques Sun à Memphis, trouve en Elvis Presley un « Blanc qui chante comme un Noir », selon sa fameuse formule, il est à l'origine d'une nouvelle ère, au point que beaucoup y voient, ce qui est largement discuté, l'an zéro du rock. Il est incontestable en tout cas que Sam Phillips abandonne presque tous les artistes noirs de blues et de rythm'n' blues, comme Howlin Wolf, Dr. Ross ou « Pinetop » Perkins, qui avaient jusque-là constitué la plus grande partie de son écurie. Avec le premier disque de Presley publié en juillet 1954, un nouveau style se répand bientôt dans les Etats frontaliers et avoisinants de Tennessee : l'Arkansas, le Mississippi, le Texas et la Louisiane. Contrairement à un approximation très répandue, le rockabilly ne confond pas purement et simplement avec le rock'n' roll. Il en est plutôt une nouvelle variante qui, selon le classement adopté par l'historien Charlie Gillett dans The Sound Of The City, se distingue du rock'n' roll nordiste (celui de Bill Haley), du rythm'n' blues de La Nouvelle-Orléans (de Fats Domino et Little Richard), du rythm'n' blues de Chicago (Chuck Berry et Bo Didley) et du doo-wop new-yorkais (des Coasters). Plutôt que de parler de rockabilly, les musiciens locaux désignent spontanément cette musique comme du country blues, du country rythm'n' blues ou du hillbilly bop. Interrogé près de quarante ans plus tard par Craig Morrison, un universitaire de Chicago, à propos de son essai Go Cat Go ! Rockabilly Music And Its Makers, Sam Phillips est catégorique : “Je n'avais rien à faire avec ce mot de « rockabilly ». Je ne saurais pas dire pourquoi mais je ne l'ai jamais aimé… Je le ressentais comme une insulte à la country et au rock'n' roll, une façon que les critiques du Nord avaient de dénigrer les « hillbillies ». » Il est confirmé que le chanteur de country Hank Snow, qui avait le même imprésario qu'Elvis Presley et ne portait pas ce dernier dans son cœur, utilisait alors ce terme de manière moqueuse et dépréciative.

Quelque soit le vocable par lequel on la désigne, il naît alors avec Elvis Presley une nouvelle forme de rock'n' roll typique des Etats du sud central des Etats-Unis. Craig Morrison définit ainsi le style du rockabilly : « une manière de chanter assurée, des tempos relativement rapides et de petits ensembles de trois à six musiciens qui s'appuient sur le blues et des formes dérivées du blues. La plupart des titres font figurer un chanteur unique, même si certains incluent une harmonie de voix, en général au nombre de deux ou des chœurs. Les chansons sont en principe des compositions originales mais il existe aussi des réinterprétations de rythm'n' blues, blues, country, gospel, pop et de chansons folk. L'argot, qui figure pour une bonne part dans la culture noire, est souvent présent. Certains thèmes reviennent dans les paroles de façon récurrente : la vie à toute vitesse, les voitures, les fêtes, les personnages hors du commun, les rapports hommes-femmes, les modes et les frustrations des adolescents. Des effets sonores réalisés en studio rehaussent la plupart des enregistrements. » Ainsi ce style au tempo rapide et nerveux, propulsé par un slap (claquement) de contrebasse très particulier, se construit à partir de l'instrumentation du trio d'Elvis Presley, Scotty (Moore) et Bill (Black). Il se reconnaît par une guitare sèche rythmique et sauvage qui vient soutenir les interventions solistes et rythmiques d'une guitare électrique au style façonné par la musique country et le rythm'n' blues. « That's All Right », le premier classique de Presley, est la reprise d'un rythm'n' blues interprété par des musiciens de hillbilly. D'autres ajoutent bientôt une batterie. L'irruption de Jerry Lee Lewis avec son piano honky-tonk complète le son du studio Sun où Sam Phillips enregistre successivement des artistes appelés à devenir célèbres tels que Johnny Cash (« Cry Cry Cry », 1955), Roy Orbison (« Ooby Dooby », 1956), Carl Perkins (auteur de l'hymne du rockabilly « Blue Suede Shoes », 1956), Charlie Rich (« Lonely Weekends », 1958) ainsi que Warren Smith (« Red Cadillac And a Black Moustache », 1957), Sonny Burgess (« Red Headed Woman », 1956) ou le pionnier Malcolm Yelvington (« Drinkin' Wine Spoo-Dee-Oo-Dee », 1954). Aucun chanteur catégorisé dasn ce style ne s'y tiendra exclusivement tant il est vrai que Presley (que Phillips apprécie précisément pour son aptitude à couvrir tous les genres) abandonnera après avoir quitté Sun pour RCA, cette couleur particulière, au moins en partie. Mais le rockabilly fait vite tache d'huile et bientôt des artistes de hillbilly sur le déclin font même un retour dans ce nouveau style au point que la country disparaît presque au cours de la brève période qui suit.

D'une grande pureté stylistique, le rockabilly est, selon la définition même de Carl Perkins, « une chanson d'homme de la campagne sur un rythme d'homme noir c'est-à-dire un blues accéléré ». Craig Morrison s'est amusé à définir une liste de critères auxquels une chanson, son interprète et son instrumentation doivent obéir pour être définis comme « du pur rockabilly » à coup sûr : « une influence patente de Presley, des interprètes formés par la musique country, des inflexions identifiables de country et de rythm'n' blues à la fois, des structures de blues, un recours à l'écho, un rythme et une mesure appuyés, de l'émotion et du sentiment, un style vocal sauvage ou extrême, un solo de guitare électrique énergique influencé par le blues, une contrebasse, un tempo situé entre le modéré et le rapide, une année de sortie qui soit 1954, 1955 ou 1956, des origines sudistes ( !). » En revanche, toujours selon le même auteur, les critères suivants, s'ils sont remplis, amènent à la conclusion définitive qu'on n'est pas en présence de rockabilly : « une démarche commerciale patente, des paroles cherchant déliberément à séduire les jeunes, la présence de choriste surtout féminines, des harmonies vocales, une façon de chanter fade et insipide, un saxophone, une basse électrique, un piano (sauf si c'est Jerry Lee Lewis), un rythme faible, des interprètes noirs, des tempos plus lents, une date de sortie remontant à 1957 et aux années suivantes (sauf s'il s'agit de revival), des origines nordistes. » On pourrait aussi souligner que le rockabilly est exclusivement interprété par des hommes mais comme toute règle, elle a ses exceptions et de taille : Wanda Jackson et Janis Martin.

Quand surgit le « Be-Bop-A-Lula » de Gene Vincent, venu du Norfolk (Virginie), au nord de la côte Est, en juin 1956, le rockabilly est à son zénith. Il a trouvé son maître, en partie grâce au style archytépal du brillant guitariste de Vincent, Cliff Gallup. Le terme « rockabilly » est utilisé cette année-là par l'hebdomadaire professionnel Billboard pour décrire « Rock Twon Rock », le disque d'un certain Ruckus Tyler, présenté comme un gazouilleur rockabilly et il est propagé par l'influent DJ nordiste Alan Freed. Le rockabilly reste pourtant typiquement associé aux Etats du sud central des Etats-Unis, à tel point, d'ailleurs, que le californien Ricky Nelson devra avoir recours au brillant guitariste James Burton (élévé en Géorgie, un Etat du Sud) pour obtenir un authentique cachet rockabilly. Le rockabilly devient la musique des jeunes qui se cherchent une identité différente de celle projetée par le « hillbilly boogie » de Hank Williams ou Lefty Frizzell. Adopté par la jeune génération blanche d'après-guerre, il représente le premier véritable courant « rebelle » du rock'n' roll. Le légendaire pianiste de Memphis, Jim Dickinson, insiste sur la part de révolte que transmet le rockabilly dans ces états où la musique, plus que partout ailleurs, crée des brassages entre Blanc et Noirs, qui inquiètent, voire horrifient les forces conservatrices, ségrégationnistes et puritaines : « cette attitude née de tensions sociales, raciales et musicales », selon Dickinson, est illustrée par des vêtements voyants et des thèmes authentiquement adolescents. Une constante du rockabilly est la prosodie singulière du chant bop parsemé de hoquets et d'hésitations comme si, dans le feu de l'action, Elvis Presley et ses suiveurs bégayaient (ce hiccup, « hoquet », sera particulièrement marqué chez Buddy Holly). Cette interprétation en hoquets, qui prend sa source dans le style extravagant des prêcheurs des églises pentecôtistes et autres, se retrouve chez le texan Buddy Holly et chez le californien Eddie Cochran (« Twenty Flight Clock »). A l'apogée du rockabilly, chaque maison de disques veut sa part du gâteau et un grand nombre d'artistes apparaît alors (ainsi qu'en témoignent les excellents compilations Imperial Rockabillies parues chez United Artits), comme le remarquable Johnny Burnette Rock'n' roll Trio (« Tear It Up », 1956, « Rock Billy Boogie », 1957), Billy Lee Riley (« Flying Saucer Rock'n' Roll », « Red Hot », 1957), Dale Hawkins (« Suzie-Q », 1957), Ronnie Hawkins (« Forty Days », 1959), Jack Scott (« The Way I Walk », 1959), Comway Twitty, Sleepy LaBeef ou l'excellent Charlie Feathers.

Le départ d'Elvis Presley pour l'armée en 1958 annonce la fin du premier âge d'or du rock et du véritable rockabilly. Celui-ci survivra bon pied bon œil, mais dans la marginalité des bars du Sud où « l'on chante toujours du fond du cœur ». Les brillantes parties de guitare de Johnny Meeks ou Carl Perkins, l'énergie débordante et les déhanchements de Presley, les éclairs de génie de Gene Vincent, la sauvagerie, les provocations, les acrobaties de Jerry Lee Lewis témoignent de quatre années de grâce dans l'histoire du rock. On en retrouve vite les traces chez les Beatles, qui interprètent à leurs débuts de nombreux titres de Presley, Burnette et surtout Buddy Holly. George Harrison, très influencé par le jeu de guitare de Carl Perkins, enregistre avec ses camarades nombre de compositions. Très marqué par Géne Vincent, l'anglais Vince Taylor (« Brand New Cadillac », 1959), émigré en Californie, perpétue le son, les poses et les accents rockabilly. Il représente un cas à part, puisque son influence s'exerce surtout en France, même si The Clash a repris ce titre dans son album London Calling

suite

Faible jusqu'à être inexistante dans le rock des années 60, l'influence du rockabilly connaîtra, lentement mais sûrement, un fort regain d'intérêt au début des années 70. De plus en plus nombreux et organisés, des collectionneurs perpétuent le culte à Londres grâce à des disquaires spécialisés. La demande augmente et les originaux deviennent de plus en plus difficiles à trouver. En conséquence, des labels comme Ace en Grande-Bretagne et Charly en France entreprennent d'ambitieux programmes de rééditions. En 1971, le label Rollin' Rock est fondé en Californie par un immigré italien, Ronny Weiser (surnommé « le Hillbilly hébreu »), qui publie aussi un magazine du même nom. Il contribuera à faire connaître un obscur texan, Ray Campi qui sera célébré comme le roi du rockabilly par les teddy boys anglais dans les années 70. En 1973, les Néerlandais Bert et Frances Rockhuizen créent un magazine de disques à Amsterdam, Rockhouse qui devient bientôt un label, commençant à diffuser des disques de nouveaux groupes de rockabilly venus d'Angleterre, organisant bientôt des festivals et ce jusque dans les années 90.

En Angleterre, les teddy boys n'ont pas complètement disparu et la bande des rockabilly rebels de la fin des années 70 se situe bien dans leur lignée. En 1979 à Londres, un pub différent accueille chaque soir une formation de ce type. Les principaux groupes du revival rockabilly de cette période sont Matchbox (« Rockabilly Rebel », Magnet 1979) et Crazy Cavan & The Rhythm Rockers. On citera aussi Graham Fenton avec les House Shakers puis Hell Raisers et les Flying Suacers qui écument sans relâche le circuit des pubs dans les années 70, bientôt suivis de jeunes émules, Whirlind et les Polecats dont le guitariste Boz Boorer est depuis le début des années 90 l'animateur du groupe du chanteur Morrissey. Un cas tout à fait à part est celui du gallois Shakin' Stevens, véritable vedette populaire auprès d'un très jeune public au début des années 80.

Aux Etats-Unis, les Cramps, qui enregistrent dès 1977, inventent un nouveau son, sorte de rockabilly extrême, morbide et saturé, mâtiné de punk rock et de rock garage. Ils seront à l'origine d'un genre à part entière baptisé le « psychobilly », soit « rockabilly psychotique, aux paroles dérivées de films d'horreur et faits divers atroces. Durant la période punk-new wave émerge le plus classique Robert Gordon, un temps associé au guitariste Link Wray. A New York, la présence de Levi & The Rockats et le succès marginal du « Hot Rod Man » (1980) de Tex Rubinowitz ne laissent pas présager la tornade lancée de Londres par le trio d'exilés new yorkais des Stray Cats dès la fin de 1980. Ouvert à différentes influences, leur rock'n' roll n'est pas un pur rockabilly ; en revanche, leur allure, leur jeu de scène époustouflant, leur répertoire original et la virtuosité de Brian Setzer déclenchent une fulgurante mode rockabilly qui, en 1981, succède en Grande-Bretagne à la vague ska. Cette musique ressurgit alors brusquement aux Etats-Unis et surtout en Europe, notamment en France où les Stray Cats connaissent un immense succès. Ils suscitent partout de nombreuses vocations, mais aucun groupe ne saura vraiment relever leur défi. Influencés par les Cramps, les Meteors de P. Paul Fenech illustreront le mini-courant de psychobilly au début des années 80, demeuré marginal.

L'Europe sert traditionnellement de base au culte du rockabilly. C'est aux Pays-Bas qu'est né le prolifique label de rééditions White Label ; l'Allemand de l'Ouest Richard Weize a crée Bear Family en 1975. Des fanzines enfin alimentent le culte : New Kommotion et Now Dig This, en Grande-Bretagne. Les Etats-Unis célèbrent eux aussi leur propre passé. Le fanzine Blue Suede News paraît depuis 1986. Mais le plus intéressant et le plus singulier est de loin Kicks publié par Billy Miller et Miriam Linna, qui ont formé deux groupes, les Zantees puis les A-Bones, publiant des disques de Link Wray et bien d'autres pour leur label Norton. Il est, en dernier ressort, impossible de dresser la liste de tous les chanteurs et musiciens de rock qui se sont inspirés du rockabilly : le texan Bobby Fuller, digne héritier de Buddy Holly au milieu des années 60, Creedence Clearwater Revival puis Elton John jusqu'aux Cramps, déjà mentionnés (« Tear it Up », 1980). On peut citer aussi Jeff Beck, grand admirateur du style de Cliff Gallup, auteur d'un album dans ce style, Crazy Legs (1993), Neil Young avec son album de 1983 Everybody Rockin', Elvis Costello et son remarquable King Of America (1986), le guitariste Danny Gatton, le revivaliste gallois Dave Edmunds, le bostonien excentrique Jonathan Richman, les excellents Blasters de Los Angeles, le musicien de Memphis Tav Falco, sans oublier les Ecossais des Shakin' Pyramids, auteurs de deux excellents albums au début des années 80 et bien oubliés aujourd'hui

l'important c 'est que tout le monde a gagner comme chez Jacque Martin mais je reste sur ma fin concernant l'angleterre et le rock and roll rockabilly dailleur Monsieur john lenon à dit une fois à la presse devant lui "avant Elvis il n y avait rien" pas tout a fait non plus d'accord avec ca mais ca résume quand même d'ou vient la musique que l on aime puis l'important comme disait Vince fontaine que ce soit avec tes mains ou avec tes pieds ce que tu fais fais le à fond petit gros grands rond moi je rajouterai americains anglais francais bien simple allez une fois voir sur youtube comment se tremousse les japonais au sons du rockab il sont tres loin de nos Boppers pourtant ils ecoutent la même musique que nous
Moi je -- ne dis pas vive le rock je dis VIVE la musique qui nous fait vibrer

Au printemps 1956, le batteur de jazz Baptiste Reilles (1920-1987), qui se présente comme chanteur sous le pseudonyme de Mac Kac, sort le premier disque de rock français. Ce super 45 tours est publié sous la marque Versailles, de Ray Ventura, dont le directeur artistique est Sacha Distel, neveu du précédent. Il est composé des chansons suivantes : « Et là-bas ? », reprise d'une chanson louisianaise, « J'en ai assez », reprise d'« Eddie my love », « Great big bulging eyes », et « T'es pas tombé sur la tête », reprise de « See you later aligator », de Bill Haley.

Déjà auparavant, fin 1955, Line Renaud a repris le titre de Lavern Baker « Tweeldee Dee » [1].

Le 21 juin 1956, Henry Cording, pseudonyme sous lequel se cache Henri Salvador, enregistre un autre disque de rock français, qui se veut très parodique comme l'illustrent les titres des chansons choisies : « Va t'faire cuire un œuf, Man », « Rock hocquet », « Rock and roll mops » et « Dis-moi que tu m'aimes rock ». L'entreprise assemble les talents de Boris Vian (paroles) et de Michel Legrand et Alain Goraguer (musique) [2].

En 1958, Danyel Gérard sort un disque de rock, qui n'est pas une parodie. On y trouve notamment un titre signé Boris Vian, D'où reviens-tu Billie Boy ?. Surnommé « le chanteur suffoquant », Danyel Gérard suscite un certain intérêt. mais il doit partir faire son service militaire pendant la guerre d'Algérie fin 1959. Pendant ce temps, d'autres chanteurs se lancent dans la même aventure : Claude Piron qui deviendra Danny Boy, Richard Anthony, puis Johnny Hallyday.

Ce qui me laisse penser que le terme rockabilly etait deja utiliser en france fin des annees 50

dj boule a écrit:

Ce qui me laisse penser que le terme rockabilly etait deja utiliser en france fin des annees 50

Bah non, je vois pas pourquoi ??? Le terme rock, et rock'n'roll oui, mais rockabilly non...

Tupelo Mississipi Flash a écrit:

dj boule a écrit:

Ce qui me laisse penser que le terme rockabilly etait deja utiliser en france fin des annees 50

Bah non, je vois pas pourquoi ??? Le terme rock, et rock'n'roll oui, mais rockabilly non...

Tout a fait d'accord avec toi TUPELO !!!...
c'est pour ca que je dis et repete que d'apres moi , Elvis a commence en chantant du Rockabilly mais des que le Col Parker a pris sa carriere en main ( carriere qu'il voyait certainement internationale ) il lui a fait chante du Rock'n'roll car dans les 50's le Rockabilly n'a jamais depasse les frontieres des etats du sud

geniale comme discution ca nous oblige a se creuser les meninges et retrouner dans ses bouquins et je viens de lire un article ou l on retrouve le mot rockabilly dans la fin de la premiere moitié des annees 40

Tirant son origine des bars du sud des États-Unis avec le retour des militaires de la Seconde Guerre mondiale, le Rockabilly Jive portait le nom de Jitterbug Jive ou de GI-Jive. Cette danse est également connue sous les appellations suivantes : Rock n Roll Jive, Teddy Boy Jive, Rockabilly (particulièrement en Australie).

Se dansant à l'origine sur la musique swing, rock 'n' roll et rhythm and blues, le Rockabilly Jive finit par adopter la rapidité et la férocité de la musique rockabilly, apparue au début des années 1950. Quasiment disparu depuis l'apparition et la popularité de la danse rock'n'roll dans les années 1960, le rockabilly Jive fait un retour en force partout en Amérique du Nord depuis la fin des années 1990 après avoir été populaire en Angleterre dans les années 1970 et 1980 chez les Teddy Boys.

Possédant un pas de base très simplifié en quatre temps, ce qui rend cette danse accessible à tous, le Rockabilly Jive possède une technicité très élevée due à la rapidité des mouvements et au nombre d'acrobaties possibles. Contrairement à la majorité des danses de couples, le Rockabilly Jive n'utilise pas un pas de danse « miroir » pour le cavalier (lead) et la cavalière (follow). Chacun possède son pas, ce qui donne un aspect particulier à cette danse. Le lead utilise un changement de poids de gauche à droite pour se déplacer tandis que la follow possède un mouvement « avancer/reculer ».

Le rock ’n’ roll est d'abord issu du rhythm and blues aux États-Unis, le rythme ternaire de celui-ci étant remplacé par un rythme binaire et un tempo plus soutenu. Il faut distinguer rhythm and blues et rock ’n’ roll, même si la tâche paraît délicate de la fin des années 1940 à 1954. Le rock ’n’ roll est un style musical inventé et joué par les musiciens blancs qui se sont inspirés du rhythm and blues afro-américain, simple, facile à danser et excitant, ce nouveau style était idéal pour les night-clubs. L'étiquette rock ’n’ roll a, dans un premier temps, été utilisée pour distinguer le rhythm and blues des Afro-Américains de celui des blancs et ce pour des raisons liées à la politique raciale de l'époque. Il était inadmissible que des artistes blancs se retrouvent dans les mêmes bacs chez les disquaires que les noirs. La communauté blanche, qui ne fréquentait pas les night-clubs noirs, rejetait ce style musical considéré comme barbare.

En 1951, le disc jockey Alan Freed anime une émission de radio appelée Moondog's Rock And Roll Party. C'est la première diffusion du rock ’n’ roll à une large audience. C'est ce disc jockey radio qui trouve son nom au rock ’n’ roll en reprenant une expression que l'on retrouve depuis les années 1940 dans certaines chansons de rhythm and blues et qui signifie en argot « faire l'amour ». Alan Freed est le premier disc jockey blanc à soutenir avec force des artistes noirs jouant la « musique du diable ». La bonne société américaine en fera son « ennemi numéro 1 » et aura d'ailleurs sa peau en 1956.

Le terme « rockabilly » désigne la première forme historiquement identifiable de rock ’n’ roll, il s’agit essentiellement d'un croisement de rhythm and blues et de musique country. Elvis Presley et Bill Haley sont deux précurseurs chez les chanteurs blancs. Elvis Presley, surnommé The King (« Le Roi » du rock ’n’ roll), enregistre ce qui est probablement l'un des tout premiers morceaux de rockabilly avec That's All Right (Mama) et collectionnera très rapidement les succès. Fats Domino, Little Richard et Chuck Berry musiciens noirs, sont alors les principaux piliers hyper-créatifs du rock ’n’ roll , mais c'est Bill Haley and His Comets qui signent officiellement le premier tube du rock ’n’ roll avec le titre Rock Around the Clock (reprise de Sonny Dae and His Knights, 1952), d'un style très simplifié et facilement assimilable pour la communauté blanche. Ce premier tube de l'histoire du rock ’n’ roll qui figure au générique du film Graine de violence est numéro 1 des hit-parades aux États-Unis (8 semaines) et au Royaume-Uni (3 semaines) en 1955. Buddy Holly, Jerry Lee Lewis, Eddie Cochran et Gene Vincent s'engouffrent dans la brèche. Les musiciens noirs restent très actifs grâce à Chuck Berry et Bo Diddley tout particulièrement. N'oublions pas Little Richard, qui sur son premier 45 tours signe quatre des plus grands standards de rock : Tutti Frutti, Long Tall Sally, Rip It Up et Ready Teddy. Ces artistes Afro-Américains influenceront définitivement l'univers du rock ’n’ roll par leurs compositions mais aussi par leurs jeux de scènes révolutionnaires. Chuck Berry aura marqué le Rock avec son titre Johnny B. Goode. Titre repris par plusieurs générations de rockers, d'Elvis Presley à ACDC, en passant par The Beatles. Son jeu de scène et ses pas de danses seront repris également par ses successeurs, comme par exemple, Elvis Presley ou Angus Young. Les Rolling Stones s'inspireront largement de son style.

Voici pour moi la premiere trace du mot du moins dans son rythme Rocket 88 est une chanson de rhythm and blues écrite par Jackie Brenston. Elle est inspirée du Cadillac Boogie de Jimmy Liggins, publié en 1947. Dans les paroles, Brenston remplace la vieille cadillac par la nouvelle Oldsmobile Rocket Hydra-Matic 88. La mélodie est quasiment la même, mais le son est différent, nouveau, essentiellement à cause des musiciens et des circonstances de la session.

Certains historiens et chercheurs considèrent ce morceau comme le tout premier rock'n'roll de son histoire (sources à venir)

Jackie Brenston et Ike Turner enregistrent ce morceau à Memphis le 5 mars 1951, dans le studio du jeune producteur Sam Phillips. Celui-ci vend la chanson à Chess Records, qui l'édite en single en avril, sous le nom de « Jackie Brenston & his Delta Cats », avec Come Back Where You Belong sur la face B. Deux autres titres, enregistrés le même jour, sont crédités à « Ike Turner & The Kings of Rhythm ».

De fait, l'interprétation sauvage de ce morceau, par les cinq musiciens de la session, est atypique pour l'époque : « L'amplification saturée de la guitare électrique de Willie Kizart, les glissandos périlleux et les triolets frénétiques du piano d'Ike Turner (...), les hurlements post-mélodiques du saxophone de Raymond Hill, le son de poubelle de la batterie de Willie Sims et celui, cru et consciencieusement dégénéré, du chant, des cris et autres glapissements de Jackie Brenston... »[1], le classent parmi les précurseurs de l'histoire du rock. Le jeu de piano de Turner inspirera notamment celui de Little Richard pour son titre Good Golly Miss Molly. Sam Phillips a été encore plus précis sur le "son de la guitare" du morceau, quand il a expliqué au critique Robert Palmer : "Ce jour-là, Willie Kazart est arrivé au studio avec le cône de son ampli bousillé, car il venait de faire tomber l'ampli. Le son était complètement distordu, mais m'a quand même plu parce que ça sonnait original, nouveau. On l'a rafistolé comme on a pu avec du ruban adhésif et on a enregistré comme ça : le son bizarre de "saxo étouffé" qu'on entend, c'est en fait ce qui est vraiment sorti de l'ampli guitare à cette session, légèrement 'poussé' "[2],[3]

Rocket 88 entre dans le classement Rhythm & Blues du Billboard à la fin du mois d'avril, pour atteindre la première place en juin et rester cinq semaines consécutives à cette place. Ce single est la deuxième meilleure vente de l'année 1951 aux États-Unis, dans la catégorie R&B[2].

Devant tant de succès, ils enregistrent une suite intitulée My Real Gone Rocket, trois mois plus tard, mais sans rencontrer le même succès. Bientôt, Turner finit par prendre ombrage de la popularité de son coéquipier et les deux hommes ne tardent pas à se séparer. Quand ils se reformeront, quelques années plus tard, Turner interdira à Brenston de chanter Rocket 88 en public.

Sam Phillips, voyant l'argent que Chess a gagné à sa place, se décidera à créer son propre label l'année suivante, baptisé Sun Records. Bien que ce soit lui qui ait découvert et, le premier, enregistré Elvis Presley, en 1954, il déclarera que Rocket 88 constitue le premier succès du rock 'n' roll[3].

Saisissant la balle au bond, Bill Haley enregistre une version de Rocket 88 avec son groupe The Saddle-Men, publiée sur le label Holiday en juillet 1951. Il est le premier musicien blanc à faire une reprise d'un n°1 de rhythm and blues.

Trente ans plus tard, en 1981, Ian Stewart produira l'album Rocket 88, qui commence par une version instrumentale live de ce morceau, sur laquelle jouent Alexis Korner à la guitare électrique, Jack Bruce à la basse, Charlie Watts à la batterie, Bob Hall ou George Green au piano et une section de 4 cuivres[4]

je rejoins Gilles Elvis a fait du rckab pendant 3 ans puis de la guimauve peut t'on même encore appeler ca rock and roll bon les gars et si on se prenait une bouteille de bourbon et qu on se refaisait le monde a notre facon je propose de reinventer l'histoire et de nommer la musique qu l on écoute le rockcity boogie (rcb° ??????

Et bien mon ami joe,c'est un vaste débat que tu as lancé là,aussi vaste que la rock-a-billy lui même.D'ailleurs,qui c'est ce mec là,Billy???

dj boule a écrit:

Elvis a fait du rckab pendant 3 ans

D'accord avec toi BOULE !!!... de Juillet 1954 , date a laquelle Elvis enregistre ; that's all right et blue moon of Kentucky a mi 1956 , on peux dire qu'Elvis est un chanteur de Rockabilly , il chante egalement quelques ballades comme " love me tender " quelques blues comme " heartbreak hotel " ou " crawfish "
C'est a partir d'Octobre 1956 qu'Elvis va devenir un chanteur de Rock'n'roll avec " don't be cruel "

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1954





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1955







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1956





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Octobre 1956



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Voila ! maintenant , ce n'est que mon avis hein ?!.......................................l'avis d'un amoureux de la " musique du diable " et non celui d'un expert

salut

j'ai laisse message qui ne s'est pas inscrit

je disais

je viens de me lever et je lis avvec interet le papier colle de dj texte qui a du etre ecrit par un journaliste apprenti connaisseur

pui j'au vu un nom inconnu monsieur djone laid none puis ca parle punk (qui c'aet puis des cramps meteors

j'ai de suite alerte mes services dimanche jour de repos pour mes suricats je leur ai promis un coca supplementaire.......

et la j'ai vu alan freed la bonne societe americaine a eu sa peau en 1956.... vite j'ai appele un de mes proches lieutenants (titou) a ce sujet

ca donne ca

ils ont vire freed en 56 ?????? ahahahahahhah toujours le mot npour rire joe

reveille toi et ecoute ca

en 1950 a rejoint la wxel tv
en 1952 le 21 mars il a organise the moondog coronation ball a cleveland (y avaient elvire et greg c'est la qu'ils se sont rencontres)
en 53 il a eu un accident de bagnole
en 55 il il fasisait partie du wins studi il gagnait 150000 $
en 1956 il elu roi du rocknroll
la meme anne il presente une affichealan freed and his rock n roll easter show avec les platters the ten agers flamingos jodimars
le 5 octobre 1956il fait partie d'un show sur cbs
puis le meme jour un autre avec count basie
puis en 1957 il y a l'anniversaure de son show a new york don't knock the rock
1957 (arrrrgghhhh les americains n'ont pas encore eu sapo)
le 4 juilletil organise le summwer festival
le 26 du meme mois il anime le big beat show
en 57 il est avec little richard il anime le troisieme aniversaire du rock n roll stage show
il est dans le film mister rock n roll
en 58 il est a la wabc

en 59 il est dans le film go johnny go!
en 1959 il est dans le wnew tv big beat show le 16 aout

les problemes commencent a arriver le 24 novembre 1959 il fait la une du daily news
le lendemain dans le new york post ils en remettent une couche
il a commence a boire et en est mort en 1965

vola joe ca va ????? bien sur que ca va viens donc a la maison y a un coca au frai

joe

ps je file avec mon chat sous le bras au pas de course pour le rockabilly francais

un rappel pour les afficionados du rock annees 60

il y a un an de ca paradait un little joe qui sans honte nous avait donne la signification du terme ye ye

ca donnait ca

l'expression ye ye date du troisieme siecle le colporteur (annonceur de nouvelles ) faisait du porte a porte et un il criait

oye !!! brave gens oye!! et un jour il avait tellement picole qui'il guelait oye ...ye ye..... bra...brra..bravee..gens

donc les francais qui appelaient les ringards petits mignons ye ye(es) croyaient avoir invente une expression pour faire bien et applaudir nos abominables gorets

heureusement certains irreductible vaquaient a leurs magnifiques occupations en achetant par exemple le 45 de johnny burnette dansons gaiement(ca sonne francais)

peut etre pensaient ils que c'etait djoni ce dont je doute!!!!

joe

merci a titou a qui la guimauve (texte) n'a pas echappee

joe a écrit:

salut

j'ai laisse message qui ne s'est pas inscrit

je disais

je viens de me lever et je lis avvec interet le papier colle de dj texte qui a du etre ecrit par un journaliste apprenti connaisseur

pui j'au vu un nom inconnu monsieur djone laid none puis ca parle punk (qui c'aet puis des cramps meteors

j'ai de suite alerte mes services dimanche jour de repos pour mes suricats je leur ai promis un coca supplementaire.......

et la j'ai vu alan freed la bonne societe americaine a eu sa peau en 1956.... vite j'ai appele un de mes proches lieutenants (titou) a ce sujet

ca donne ca

ils ont vire freed en 56 ?????? ahahahahahhah toujours le mot npour rire joe

reveille toi et ecoute ca

en 1950 a rejoint la wxel tv
en 1952 le 21 mars il a organise the moondog coronation ball a cleveland (y avaient elvire et greg c'est la qu'ils se sont rencontres)
en 53 il a eu un accident de bagnole
en 55 il il fasisait partie du wins studi il gagnait 150000 $
en 1956 il elu roi du rocknroll
la meme anne il presente une affichealan freed and his rock n roll easter show avec les platters the ten agers flamingos jodimars
le 5 octobre 1956il fait partie d'un show sur cbs
puis le meme jour un autre avec count basie
puis en 1957 il y a l'anniversaure de son show a new york don't knock the rock
1957 (arrrrgghhhh les americains n'ont pas encore eu sapo)
le 4 juilletil organise le summwer festival
le 26 du meme mois il anime le big beat show
en 57 il est avec little richard il anime le troisieme aniversaire du rock n roll stage show
il est dans le film mister rock n roll
en 58 il est a la wabc

en 59 il est dans le film go johnny go!
en 1959 il est dans le wnew tv big beat show le 16 aout

les problemes commencent a arriver le 24 novembre 1959 il fait la une du daily news
le lendemain dans le new york post ils en remettent une couche
il a commence a boire et en est mort en 1965

vola joe ca va ????? bien sur que ca va viens donc a la maison y a un coca au frai

joe

ps je file avec mon chat sous le bras au pas de course pour le rockabilly francais

un rappel pour les afficionados du rock annees 60

il y a un an de ca paradait un little joe qui sans honte nous avait donne la signification du terme ye ye

ca donnait ca

l'expression ye ye date du troisieme siecle le colporteur (annonceur de nouvelles ) faisait du porte a porte et un il criait

oye !!! brave gens oye!! et un jour il avait tellement picole qui'il guelait oye ...ye ye..... bra...brra..bravee..gens

donc les francais qui appelaient les ringards petits mignons ye ye(es) croyaient avoir invente une expression pour faire bien et applaudir nos abominables gorets

heureusement certains irreductible vaquaient a leurs magnifiques occupations en achetant par exemple le 45 de johnny burnette dansons gaiement(ca sonne francais)

peut etre pensaient ils que c'etait djoni ce dont je doute!!!!

joe

merci a titou a qui la guimauve (texte) n'a pas echappee

Kezako JOE !!!... le cafe etait trop chaud ?.................................................t'as avale ton croissant de travers ou ....................................................................t'as simplement decide d'etre desagreable ? ...............................................................

pas du tout gilou

pas desafreable

en 56 alan freed etait au top il n'e s'est pas fait lourder.... les problemes de payola et d'alcool ont eu raison de lui

mais il est certain que le mot rockabilly n'a pas debarque en france fin annees 50

denichez de vieux magazines rock n roll rockabilly francais anterieurs a 1968......et vous verrez que je dis vrai

ha! les francais et leurs ye ye machins

joe

les posts de joe ne sont que rire et amitie

J´ai un doute,pourquoi quand les gents parle de Revival ils nome toujour Crazy Cavan and the Rhythm Rockers,Matchbox,Flying Saucers et quelques fois aussi Riot Rockers,pourquoi ne pas nomé aussi Wild Angels,Rock & Roll Stars,Shakin´Steven and the Sunsets,Freddy Finger Lee,Jets etc.....Eux aussi sont des groupes de revival de la première heures,pour en finir,quelqu´un peux m´expliqué se qui est le Rockabilly Jive?Merçi.
Dj Eddie-Cesc
https://www.youtube.com/watch?v=ByGpEvrJ5E0 Elton Britt - Detour

une pognee............................. d'irrecductibles qui pour l'epoque n'etait pas tombes dans la ringardise que proposaient la tv francaise et autres stations de radio

he bien mes chers auditeurs voici u n nouvelle vedette de la chanson francaise ............ machin.....qui va nous chanter son dernier succes.......

pour EDDIE

Le rockabilly jive ???????????????????????? si quelqu'un aussi peut m'expliquer

a savoir que freddie fingers lee jouait de la guitare bien avant d'avoir vu jerry lee et s'est mis immediatement au piano apres avoir vu le phenomene (actuellement freddie a gros problemes de sante

joe